Je n'aime pas rester debout.
Lorsque je rentre dans une pièce - à la façon des agents secrets qui repèrent d'emblée les portes de sortie - je commence par chercher du regard les endroits susceptibles de me servir de siège.
Dans le métro, je fais partie de ces gens qui se ruent sur les fauteuils vacants, mais je le fais avec un peu plus d'élégance car pour moi, ce n'est pas une question de confort. Il m'est quasiment vital de me rencogner dans un demi-espace : je ne supporte pas le déploiement de mon corps à la verticale.
Parfois j'ai envie de supplier ceux qui sont assis de me laisser leur place : non je ne suis pas enceinte, je porte rarement de hauts talons, je ne suis pas fainéante ni fatiguée (encore que dans ce cas, il est évident que ma manie s'accentue) mais je n'aime pas rester debout, je ne supporte pas de rester debout : je déteste rester debout.
Dans les petites pièces, le problème devient de taille. C'est peut-être une forme de claustrophobie après tout. Je me sens tellement grande et tellement énorme, alors, que je dois lutter pour ne pas pénétrer dans la pièce en position assise.
Urszula habite dans un studio. J'ôte le manteau de mon fils à quatre pattes dans l'entrée, puis le mien sans me relever. Une fois debout, je franchis au plus vite les deux mètres qui me séparent du canapé où je m'affaisse en un soupir.
D'aucuns prétendront qu'il s'agit d'un banal problème de confiance en soi dû au choix à un complexe physique ou à une altération du caractère.
Je ne pense pas.
Certes, mes fesses sont plus rondes que les canons de beauté ne le conçoivent mais depuis plusieurs années qu'elles ont atteint leur taille adulte, j'ai appris à cohabiter avec elles de façon tout à fait sympathique. Elles essaient de rester discrètes tandis que, pour les remercier, je leur accorde, de temps à autre, de chalouper comme des dévergondées, tendues au bout d'une cambrure exagérée.
Il est évident que mes fesses et moi ne sommes pas trempées du même bois mais nous faisons les unes et l'autre des efforts afin de bien nous entendre.
Je me suis souvent demandée si j'aurais sympathisé avec elles si elles n'avaient pas été miennes.
La réponse est non.
D'ailleurs pendant les années où elles ont pris leur essor, je ne les supportais pas.
A quatorze ans je portais la plupart du temps un pull informe,vestige des années soixante-dix, qui avait appartenu au père de ma meilleure amie. Sinon, je nouais des vestes par dessus les longues chemises d'artiste que j'aimais arborer.
A dix-huit ans j'enfilais de longues jupes qui dissimulaient habilement les rondeurs que je trouvais obsolètes. Si seulement j'avais vécu au XIXème siècle, me morfondais-je, j'aurais, au moins, été célébrée pour mon physique !
Dans le métro, je fais partie de ces gens qui se ruent sur les fauteuils vacants, mais je le fais avec un peu plus d'élégance car pour moi, ce n'est pas une question de confort. Il m'est quasiment vital de me rencogner dans un demi-espace : je ne supporte pas le déploiement de mon corps à la verticale.
Parfois j'ai envie de supplier ceux qui sont assis de me laisser leur place : non je ne suis pas enceinte, je porte rarement de hauts talons, je ne suis pas fainéante ni fatiguée (encore que dans ce cas, il est évident que ma manie s'accentue) mais je n'aime pas rester debout, je ne supporte pas de rester debout : je déteste rester debout.
Dans les petites pièces, le problème devient de taille. C'est peut-être une forme de claustrophobie après tout. Je me sens tellement grande et tellement énorme, alors, que je dois lutter pour ne pas pénétrer dans la pièce en position assise.
Urszula habite dans un studio. J'ôte le manteau de mon fils à quatre pattes dans l'entrée, puis le mien sans me relever. Une fois debout, je franchis au plus vite les deux mètres qui me séparent du canapé où je m'affaisse en un soupir.
D'aucuns prétendront qu'il s'agit d'un banal problème de confiance en soi dû au choix à un complexe physique ou à une altération du caractère.
Je ne pense pas.
Certes, mes fesses sont plus rondes que les canons de beauté ne le conçoivent mais depuis plusieurs années qu'elles ont atteint leur taille adulte, j'ai appris à cohabiter avec elles de façon tout à fait sympathique. Elles essaient de rester discrètes tandis que, pour les remercier, je leur accorde, de temps à autre, de chalouper comme des dévergondées, tendues au bout d'une cambrure exagérée.
Il est évident que mes fesses et moi ne sommes pas trempées du même bois mais nous faisons les unes et l'autre des efforts afin de bien nous entendre.
Je me suis souvent demandée si j'aurais sympathisé avec elles si elles n'avaient pas été miennes.
La réponse est non.
D'ailleurs pendant les années où elles ont pris leur essor, je ne les supportais pas.
A quatorze ans je portais la plupart du temps un pull informe,vestige des années soixante-dix, qui avait appartenu au père de ma meilleure amie. Sinon, je nouais des vestes par dessus les longues chemises d'artiste que j'aimais arborer.
A dix-huit ans j'enfilais de longues jupes qui dissimulaient habilement les rondeurs que je trouvais obsolètes. Si seulement j'avais vécu au XIXème siècle, me morfondais-je, j'aurais, au moins, été célébrée pour mon physique !
J'ai rencontré B. à vingt-trois ans.
Si dans le feu de l'action, allongés, nous ne pensions l'un qu'à l'autre, les sorties de lit en vue de quitter la chambre étaient comiques. Je m'enroulais théâtralement dans un drap qui me faisait trébucher à chaque pas tandis que B., aussi timoré que moi, s'habillait en entier plutôt que de marcher nu devant moi.
Une nuit, nous en avons parlé. D'abord de lui. Puis de moi.
Et là je tombai des nues :
"En fait, m'avoua-t-il, je te trouve un peu maigre. Tes fesses sont un peu petites à mon goût."
Je demeurai suffoquée de stupéfaction.
C'était la plus belle chose qu'on m'avait jamais dite. C'était aussi la fin de mes illusions : je compris que toutes ces années à dissimuler mon popotin aux regards n'avaient été, finalement, qu'une attitude saugrenue. Voire ridicule.
"Mais non, rétorquai-je - dans le but avoué de l'entendre répéter cette déclaration- tu dois avoir mal regardé, tu parles bien de ces fesses-là ?"
Et pour la première fois, je les lui montrai.
B., sans se laisser intimider par l'oeil dardé sur lui de mes fesses outrées, asséna son verdict une nouvelle fois, atténuant leurs regrets d'être, d'un coup minimisées, par d'habiles caresses.
Les jours suivants, je retournai chez ma mère afin d'éplucher les albums photos. Je me souvenais de l'état d'importance que j'accordais à mon séant à chaque période de ma jeune existence. La plupart du temps je ne me laissais pas photographier de dos et je prenais des poses de Marylin, le poids du corps balancé sur un côté, la taille ployée, le ventre bien rentré, afin, que de face, l'on ne devine pas l'énormité de ma croupe.
Je contemplai donc les photos d'une espèce d'échalas contorsionniste, tassé sur lui-même ou penché vers l'avant, affichant des mines saugrenues de divette malingre, aussi sensuelle qu'une pioche.
Sur un cliché, dont je n'étais pas le sujet, j'apparaissais au fond, un peu floue, en maillot de bain.
J'avais, en réalité, des fesses de grenouille !
Sur le champ, j'arrachai la photo de l'album et la glissai dans mon portefeuille : j'avais la preuve que je m'étais laissée mener par le bout du nez par un vulgaire postérieur ! Cette image allait me servir de grigri et me prémunir de l'égocentrisme de ce cul que je n'avais su voir tel qu'il était : ni monumental, ni indécent ; juste, comme l'avait dit B., un peu petit.
Bien.
J'aurais dû me méfier.
Mon fessier n'allait pas s'avouer vaincu, il n'était pas de son tempérament de se dégonfler à la moindre boutade.
Tandis que je refusais de lui accorder la moindre importance, de colère, il se rengorgea. Aussitôt, il entreprit d'étendre son champ d'action. En douce, il se rempluma, il se développa, il s'arrondit, il se bomba. Petit à petit, il s'imposa.
Aujourd'hui, il est tel que je l'imaginais au moment où j'ai aimé B.
B. est ravi, pour lui mes fesses ont de parfaites proportions.
Alors, pourquoi est-ce que je m'assois chaque fois que je le peux : est-ce donc, pour rabattre le caquet de cet arrière train malséant ?
Ou est-ce tout simplement que le centre de gravité de mon corps s'est déporté un peu plus bas que le nombril ?
Est-ce que celles et ceux qui ont de petits derrières supportent volontiers la station debout, fusse-t-elle prolongée ?
Je l'ignore et ce problème étant ce qu'il est - futile - je ne peux, en l'état des choses, que m'asseoir dessus.
Si dans le feu de l'action, allongés, nous ne pensions l'un qu'à l'autre, les sorties de lit en vue de quitter la chambre étaient comiques. Je m'enroulais théâtralement dans un drap qui me faisait trébucher à chaque pas tandis que B., aussi timoré que moi, s'habillait en entier plutôt que de marcher nu devant moi.
Une nuit, nous en avons parlé. D'abord de lui. Puis de moi.
Et là je tombai des nues :
"En fait, m'avoua-t-il, je te trouve un peu maigre. Tes fesses sont un peu petites à mon goût."
Je demeurai suffoquée de stupéfaction.
C'était la plus belle chose qu'on m'avait jamais dite. C'était aussi la fin de mes illusions : je compris que toutes ces années à dissimuler mon popotin aux regards n'avaient été, finalement, qu'une attitude saugrenue. Voire ridicule.
"Mais non, rétorquai-je - dans le but avoué de l'entendre répéter cette déclaration- tu dois avoir mal regardé, tu parles bien de ces fesses-là ?"
Et pour la première fois, je les lui montrai.
B., sans se laisser intimider par l'oeil dardé sur lui de mes fesses outrées, asséna son verdict une nouvelle fois, atténuant leurs regrets d'être, d'un coup minimisées, par d'habiles caresses.
Les jours suivants, je retournai chez ma mère afin d'éplucher les albums photos. Je me souvenais de l'état d'importance que j'accordais à mon séant à chaque période de ma jeune existence. La plupart du temps je ne me laissais pas photographier de dos et je prenais des poses de Marylin, le poids du corps balancé sur un côté, la taille ployée, le ventre bien rentré, afin, que de face, l'on ne devine pas l'énormité de ma croupe.
Je contemplai donc les photos d'une espèce d'échalas contorsionniste, tassé sur lui-même ou penché vers l'avant, affichant des mines saugrenues de divette malingre, aussi sensuelle qu'une pioche.
Sur un cliché, dont je n'étais pas le sujet, j'apparaissais au fond, un peu floue, en maillot de bain.
J'avais, en réalité, des fesses de grenouille !
Sur le champ, j'arrachai la photo de l'album et la glissai dans mon portefeuille : j'avais la preuve que je m'étais laissée mener par le bout du nez par un vulgaire postérieur ! Cette image allait me servir de grigri et me prémunir de l'égocentrisme de ce cul que je n'avais su voir tel qu'il était : ni monumental, ni indécent ; juste, comme l'avait dit B., un peu petit.
Bien.
J'aurais dû me méfier.
Mon fessier n'allait pas s'avouer vaincu, il n'était pas de son tempérament de se dégonfler à la moindre boutade.
Tandis que je refusais de lui accorder la moindre importance, de colère, il se rengorgea. Aussitôt, il entreprit d'étendre son champ d'action. En douce, il se rempluma, il se développa, il s'arrondit, il se bomba. Petit à petit, il s'imposa.
Aujourd'hui, il est tel que je l'imaginais au moment où j'ai aimé B.
B. est ravi, pour lui mes fesses ont de parfaites proportions.
Alors, pourquoi est-ce que je m'assois chaque fois que je le peux : est-ce donc, pour rabattre le caquet de cet arrière train malséant ?
Ou est-ce tout simplement que le centre de gravité de mon corps s'est déporté un peu plus bas que le nombril ?
Est-ce que celles et ceux qui ont de petits derrières supportent volontiers la station debout, fusse-t-elle prolongée ?
Je l'ignore et ce problème étant ce qu'il est - futile - je ne peux, en l'état des choses, que m'asseoir dessus.
31 commentaires:
et lorsque tu chantes ? est-ce tu y penses ?
perso je passe ma vie debout, pour mon boulot ; et je ne m'assois jamais dans le métro , parfois dans le train mais c'est pour lire
en fait je ne pense jamais à mon arrière train
mon complexe était plutôt en haut , poitrine très généreuse ; mais aujourd'hui tout cela est digéré
j'étais danseuse et danseuse sur glace jusqu'à l'âge de 18 ans , alors debout forcément et dans des tenues très légères
pas facile tous les jours
en tout cas , c'est de parvenir un jour à s'accepter telle que l'on est
même s'il y a des jours à rechute
j'ai oublié un bout de phrase"en tout cas , l'important c'est de ..."
et te dire que j'adore Klimt
(c'est la dernière illustration sur mon blog)
j'ai découvert l'étendue de son œuvre il y peu ; je connaissais bien sûr , mais seulement les tableaux les plus célèbres ;un ami m'offert un livre et je suis tombée sous le charme
Ah ! J'osais pas poster le premier commentaire, après ce texte callipyge... :-)))
ça me rappelle un proverbe (chinois) je crois qui dit à peu près ça : quelque soit la contorsion effectuée , on ne se voit jamais de dos ..
Si bien dit par toi !! J'ai bien ris aussi !! mais la forme du corps est avant tout dans la tête et ne tiens qu'à une image que l'on s'est accroché en guise d'avatar.. Nous sommes plus souvent ce que nous pensons de nous-même que ce que nous sommes réellement..Même en utilisant le miroir déformant nous donnant l'image souhaitée, nous y trouverions un défaut de toute façon , tellement subtile est cette photo primaire et mouvante qui nous fait vivre...
Mes fesses et moi, on s'aime bien. C'est comme de vieilles copines, on a vieilli, toutes les deux, elles sont moins jolies qu'avant, mais plus confortables.
Un peu comme un canapé qu'on aurait acheté neuf, au cuir bien craquant, bien brillant et qui au fil du temps est devenu ce "bon vieux canap" dans lequel on aime se vautrer pour regarder les experts en mangeant des escargots de Lanvin".
Voilà, mes fesses, c'est mon bon vieux canap à moi.
Amusante histoire de fesses... :) Bien entendu, je ne vais pas avoir l'affront de mentir et dire que je ne regarde pas mais c'est plus le fait d'accepter, d'assumer ou d'aimer son corps qui importe, non? J'ai l'impression, même si une apparente fragilité est "craquante" (ce doit être le Heros inconscient, le Prince chevalier qui sommeille ;)) que la confiance en soi est souvent liée à un charme supérieur. A moins que ce ne soit le passage de l'une à l'autre qui me déstabilise et m'envoûte!
PS : frisaplat > ...connaissez-vous une poitrine TROP généreuse pour les petits garçons que nous sommes toujours un peu?!? ;)
Bon choix de tableaux, Klimt est en effet époustouflant!
@Tous : Oh ! J'ai des commentaires ! Il doit y avoir un bug car je ne les ai pas reçus habituellement dans ma boîte mail que j'interroge depuis l'aube...
C'est en rendant une visite à mon pauvre petit blog seul - les fesses à l'air en plus - que je me suis rendue compte que vous étiez passés ! Bonjour alors et merci... Je vais vous répondre mais petit à petit, enfant-de-2-ans-dans-les-jupes oblige ;)
... pas reçus, comme habituellement... voulais-je dire !
qu'elle est belle cette histoire de fesse ! Des fesses du 19ème siècle, c'est tellement ça. Rien de tel pour les aimer soi-même que la passion que leur voue celui qui nous aime.
(Ceci-dit, c'est aussi assise que je m'y sens le mieux!)
@Frisaplat : Non je n'y pense jamais lorsque je chante et zut justement, tu me fais penser que je voulais aussi parler de cela... Tant pis ! Quant à toi, merci de te dévoiler aussi ;)
Pour Klimt, oui je l'avais vu sur ton site et je m'étais remémoré ce tableau de Danae qui était autrefois dans ma chambre... C'est un de mes peintres préférés.
@Balmeyer : serait-ce mon cher que vous êtes intimidé devant de banales histoires de fesses, ou que, sévère comme un fesse-mathieu, vous les réprouvez ?
@Christie : Merci pour le rappel du proverbe chinois qui me dit aussi quelque chose.
Tu me fais réalisé qu'encore une fois c'est une histoire de regards et d'acceptation de soi que j'ai conté là...
@Dom : J'adore que tu parles des escargots de Lanvin à tout bout de champ.
Pour le fessier-canap' c'est exactement ça, qu'il est bon de s'y vautrer au fil des années !
@Zee Devoss : Bienvenue et merci pour votre avis de connaisseur !
Je pense comme vous qu'une confiance en soi lumineuse assortie d'une fragilité intermittente fait tout le charme d'un être humain... Qu'il soit homme ou femme. D'ailleurs, n'est-ce pas tout ce dont il s'agit sur les blogs des uns et des autres ?
@Merci de t'être assise un moment avec moi !
Oui c'est une belle histoire de fesses... en tout les cas mes fesses et moi on a appris a s'aimer et a vivre ensemble.... car depuis les deux grossesses consécutives nous avons eu des différents... mais maintenant... on vit ensemble.....
Je suis fan de Klimt.... ;-) merci pour le rappel.
Chez moi aussi ça déconne Blogger et j'ai 1 mail sur 3 :-(
Que je vous le dise séant
Votre séant
me semble bien seyant ;-))
...L'image que l'ona de soi... si etrange.
Je sais que c'est casse pieds, mais j'en profite, c'est la saison, un peu mon gimmick à moi.
Promis, en janvier, je passerai à la mâche (nantaise évidemment) !
@Romy : de toutes façons on a pas le choix... on doit bien les accepter, en tous cas dans cette vie là ;)
C'est génial tout le monde me remercie pour les Klimt alors j'en viens à penser que je suis un peu responsable de la beauté de ses tableaux ;)
En tous cas moi aussi j'adore, en cherchant parmi ses oeuvres sur Google Images j'en ai trouvé tellement et de tellement beaux que je me suis même dit "ça serait sympa un blog seulement illustré par des tableaux de Klimt"... Après je me suis dit que ça ferait un peu monomaniaque aussi :))
@Claude : merci sur vos beaux mots sur mes fesses ;)
@Ash(je suppose) : Oui, c'est fou, non ? Parfois on se sent super bien dans sa peau et en croisant son reflet dans un miroir on se dit "arg ! c'est moi ça " D'autres fois c'est l'inverse...
@Dom : mais non j'adore vraiment, continue, ça me fait rire à chaque fois - et saliver aussi - je te laisse imaginer à quoi ça ressemble ;)
Il y a de la mâche nantaise ?
Comme toujours très bien écrit, et en plus du Klimt, génial ! Je ne connais pas trop mes fesses, je préfére ne pas y penser. Mais ton histoire de photo, je l'ai vécue : à une période je me trouvais un peu grosse, et quand je revois les photos, je vois une jeune fille mince !
Merci de ta visite !!
@Lila ! Merci ! Je ris bien à te lire...
Mais c'est triste que tu ne penses jamais à tes fesses ;)
Il faudrait peut-être créer la journée de la fesse pour celles qui sont oubliées...
(Non je n'ai pas bu !)
@Christie : mais je t'en prie, c'est un plaisir !
(Je croyais que tu avais changé de blog ? Comment se fait-il que ton identité n'ouvre pas sur un lien ?)
Tellement, tellement bien écrit...
je ne sais pas encore très bien mettre les liens. Bon je vais aller voir .
Là tu devrais me trouver en cliaqnt sur mc
@Lily Lune : merci, ça me touche !
@Christie-mc : exact !
Comme vous en parlez elles sont probablement très jolies.
Bon, moi je jouerai pas le timide, les miennes je les supporte depuis quelques années déjà, alors que ces dames les trouvent à leur goût (sans fausse modestie... :-) mais je ne les met jamais en avant, si je puis dire... Elles m'indiffèrent, me gênent parfois, allo docteur House ... Fausse pudeur de mec :-)
@Indélocalisable : c'est l'avantage de la plume de pouvoir magnifier la réalité...
@Denis M. J'aime beaucoup la phrase "je ne les mets jamais en avant", je vous l'emprunterais bien à l'occasion...
Comment se fait-il qu'elles vous gênent parfois ? est-ce à cause ou en dépit de leur succès auprès de ses dames ? Pardonnez ma curiosité ;)
toujours aussi bien écrit et avec beaucoup d'humour. Bravo pour cette histoire de fesses pleine de finesse...
Quand je suis assise, je peux tout affronter.
Ce n'est pas pour ça que je suis stéatopyge. Mais mon équilibre se renforce lorsque je suis adossée.
Il y a des gens comme ça.
J'aime vraiment ton style.
PS : j'adore Klimt aussi
@Ly-Thi-Daï : merci, j'adore "histoire de fesses pleine de finesse" !
@Ellie : Tu me rassures, alors je me suis peut-être fait, encore une fois, toute une histoire de pas grand chose ;)
Il n'y a peut-être derrière ma manie, qu'une recherche d'équilibre et non une vulgaire histoire de fesses...
Merci pour le compliment sur mon style, j'aime beaucoup le tien, également...
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