mercredi 4 novembre 2009

Les tortues de mer vont aussi au paradis...


... grâce à Mtislav et Gaël : c'est ici.

Si vous aussi vous avez un billet, dans votre blog que vous voudriez voir accéder au Paradis, contactez Mtislav !

6 commentaires:

mtislav a dit…

Je n'ai pas encore (re)lu cette histoire de tortues mais ça ne saurait tarder. Tartaruga, c'était le surnom de ma moman...

Zoridae a dit…

:)
Tu avais participé toi, à l'époque ?

mtislav a dit…

Je ne pense pas. Mais je le regrette !

Chieuvrou a dit…

Les Tortues volent aussi est assurément l'un des films les plus terribles qu'il m'ait été donné de voir ces dernières années.

Cela n'a certes que peu de rapport avec votre billet, mais ce n'est pas tous les jours non plus que l'on parle de cinéma kurde sur les blogues.

Zoridae a dit…

Mtislav,

Il n'est jamais trop tard !

Chieuvrou,

Vous avez raison d'en parler... Merci pour ce lien même si je ne pense pas que je l'utiliserai, le film a l'air terrible en effet !

Chieuvrou a dit…

Du même réalisateur – Bahman Ghobadi , qui s'est fait connaître il y a neuf ans en France par Un Temps pour l'ivresse des chevaux (et que l'on a souvent présenté comme un cinéaste iranien alors que ses films, sinon ses déclarations publiques, peuvent laisser penser qu'il se considère surtout comme kurde) –, je ne saurais trop vous conseiller le très beau Niwemang (crétinement distribué en France, comme souvent pour les films étrangers, sous un titre anglais). Je pense que vous seriez sensible notamment à l'épisode de la chanteuse, devenue la voix quasi-mythique de son peuple – et par là même interdite de chant par le régime des mollahs –, que les musiciens du film tentent de faire passer dans le Kurdistan irakien libéré de la dictature du bon Saddam depuis les interventions armées des Occidentaux de 1991 et 2003 (à partir de deux minutes et huit secondes dans l'extrait mis en lien).

Pour être complet, il faut également mentionner Les Chants du pays de ma mère (dont je crois toutefois me souvenir qu'il m'avait un peu moins convaincu), ainsi que, prochainement, Les Chats persans (dont je ne sais pas grand'chose – je l'ai pour tout dire raté lorsqu'il est récemment passé chez nous à l'occasion d'un festival de cinéma – sinon qu'il traite de la scène undergound à Téhéran).